Comment retrouver le bonheur dans son couple

Etre coincé dans le passé signifie ne pas vivre et ne pas apprécier le présent. On le voit en voyance Suisse !

Dans le passé, nous pouvions avoir des ex-petits amis, ex-amants, ex-épouses, ex-compagnons, tous des gens profondément aimés, mais qui, en fait, ne font plus partie de nos vies aujourd’hui.

La relation avec eux nous a permis de ressentir les premiers mouvements intérieurs du cœur, nous a fait tourner la tête, imaginer « combien il serait beau si », sentir un lien très profond. Si aujourd’hui nous sommes encore en train de penser, de nous souvenir, de rêver, ne serait-ce que l’une des expériences passées de nostalgie, de mélancolie, d’amertume et d’apathie, nous courons un grand risque d’avoir presque aucune ressource pour reconnaître et rencontrer notre âme sœur.

Dans la croissance personnelle, un tel état d’esprit est appelé « blocage dans le passé ». Un « blocage dans le passé » conduit à vivre dans le regret, dans la manière dont nous avons souvent tendance à apporter des exemples de bons moments vécus avec un ancien, le regard peut sembler ennuyeux et mélancolique aux yeux d’un observateur attentif. La personne vit un deuil et la nostalgie le bloque à tel point qu’il lui est impossible de reconstruire sa vie.

Comment savoir si nous vivons un « blocus dans le passé » ?

Voici 8 causes principales de malheur dans le présent à réaliser immédiatement si nous ressentons un tel malaise :

  1. Le passé fait irruption dans nos vies et nous empêche de progresser de façon inattendue (ce n’est pas nécessairement un passé agréable) ;
  2. Un souvenir interfère négativement avec la vie d’une personne ;
  3. Il y a un sentiment de nostalgie aiguë et de regret pour les partenaires ou les personnes disparues ou lointaines, ou pour les moments, les épisodes et les situations du passé qui continuent à provoquer un profond désir, une tristesse, une dépression et une incapacité à vivre paisiblement dans le présent ;
  4. Nous aimerions revivre les expériences passées dans le présent parce qu’en les idéalisant, nous nous sentons heureux et irremplaçables avec les autres ;
  5. Même si le passé n’était pas si heureux, nous préférons les titres de l’époque, avec tout sous contrôle, plutôt que le présent avec son imprévisibilité ;
  6. Nous n’acceptons pas la perte d’êtres chers ;
  7. Nous regrettons les occasions perdues ;
  8. Nous pleurons les rêves non réalisés.

Dans cette forme de « rigidité », ni le progrès ni l’évolution ne peuvent avoir lieu, la personne ne grandit pas, elle évite les nouvelles expériences, elle rejette le flux de la vie et des changements. Nous nous berçons dans nos souvenirs, nous ne participons pas à la vie, à ses plaisirs, piégés dans le passé, nous voyons l’avenir comme une menace.

Quelques exemples concrets peuvent être ceux de :

  • Ceux qui ont perdu leur petite amie ou leur petit ami, leur femme ou leur mari et qui les ont tellement idéalisés qu’ils pensent qu’ils ne pourront plus jamais avoir une relation aussi belle avec une autre femme/homme ;
  • Ceux qui ont perdu un partenaire et laissent toutes leurs affaires dans le placard ou là où ils les ont laissées avant de partir ;
  • Soucieux d’avoir dû divorcer de sa femme ou de son mari non pas de son plein gré, il pense qu’il ne pourra plus jamais gérer une nouvelle relation dans la condition d’être séparé comme si rien ne s’était passé.

Dans tous ces cas, il y a un « blocage » dans la vie parce que le passé garde la personne connectée à elle-même.

Voici les 11 questions fondamentales que nous devons nous poser pour savoir si nous avons besoin d’aide pour surmonter un « blocus du passé » :

Est-ce que je passe beaucoup de temps à vivre dans mes souvenirs ?
Est-ce que je regrette les moments heureux de mon passé ?
Est-ce que je reconnais un tempérament nostalgique en moi et ai-je envie de récupérer mon ex ?
Ai-je de la difficulté à accepter ce qui est nouveau pour moi ? (Nouvelle relation ? Nouvelle rencontre ? Engagement dans une nouvelle relation ?)
Est-ce que je me surprends souvent à penser que « j’étais mieux quand c’était pire » ?
Est-ce que je me souviens souvent d’une ou de plusieurs relations dans ma vie où je me sentais aimé et accueilli ?
Est-ce que je retournerais vivre une relation avec cette personne même si je restais derrière, trahi ou offensé ?
Même si je vois un homme ou une femme fantastique, est-ce que je regrette quand même mon ex ?
Est-ce que je regrette encore une réunion qui ne s’est pas déroulée comme je l’aurais souhaité ?
Le souvenir d’une relation passée m’empêche-t-il d’entrer dans une nouvelle relation ?
Un mauvais souvenir m’empêche-t-il d’ouvrir une nouvelle réunion ?